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jeudi 21 mai 2015

3° CROISIERE (et dernière au Japon) au départ d'OSAKA

                                          Bienvenue à bord de L’AUSTRAL

Le Commandant Jean-Philippe LEMAIRE, son État-major et son Équipage sont heureux de vous accueillir à bord de L’Austral et vous souhaitent une excellente croisière

              L’ETAT MAJOR & LES CHEFS DE DEPARTEMENT DE L’AUSTRAL :

Chef Mécanicien : Didier MONTIL
Second Capitaine : Charbel DAHER
Médecin de bord : Dr. Alain PUIG
Directeur Hôtelier : Christian DENIEL
Chef Exécutif : Antoine KUSTER
Directeur de Croisière : Kamel HAMITOUCHE
Responsable Relation Clientèle : Johanna STANSFIELD
Responsable Excursions: Robin PETIT
Maître d’Hôtel: Pascal FLOCHLAY
Chef Barman : Ashley BANGAROO
Gouvernant : Marianne WOHLER
Responsable du Spa : Emilie HOCHEDE



L’Austral est à quai à Osaka, quai Tempozan n°3
19h00 Tous à bord!
20h00 L’Austral appareille pour Yokohama, Japon

Une nouvelle croisière commence
L’itinéraire est un peu différent des 2 premières : nous partons au Nord vers Tokyo, puis redescendons et faisons une grande partie « comme d’habitude » puis nous remontons tout au nord, de l’autre côté du Japon pour nous élancer, le 31/05 à l’assaut du Pacifique ; direction : l’autre côté : VANCOUVER.


                          Quelques photos prises du pont 7 de l'AUSTRAL dans le port d'OSAKA.
                                               Le pont 7 est la zone de repos réservée à l'équipage.













   Le canot de sauvetage qui permet de faire des recherches en cas de code OSCAR (homme à la mer)




Les canots d'évacuation pour l'équipage ; il y en a 8 de 25 places chacun. (les passagers et quelques membres d'équipage dont le médecin et l'infirmier embarquent sur 2 grosses chaloupes de 150 places)








Hokkaido, Honshu, Shikoku, Kyushu : telles sont les 4 îles qui composent la majeure partie du
territoire du Japon. (n'est ce pas, Olivier ??)
Lointain, finalement assez méconnu des voyageurs occidentaux, le Japon se révèle pourtant une destination touristique fascinante, toute en contraste.
Hyper-modernité des grandes villes comme Tokyo ou Osaka, traditions culturelles et religieuses vieilles de plusieurs siècles à Kyoto ou Nara et une culture populaire qui va des samouraïs à Godzilla en passant par les consoles de jeux vidéo les plus modernes !
Si le Japon fascine autant, c'est donc à la fois par son éloignement et la dose de mystère qui va avec, mais également par la richesse de son histoire.
Tumultueuse, celle-ci remonterait au VIIème siècle avant J-C et reste marquée par le règne de plusieurs dynasties d'empereurs, de shoguns (les chefs militaires), les armées de samouraïs, les influences bouddhistes et shintoïstes ou plus récemment les occupations militaires et la bombe atomique.
La naissance des samouraïs, dans le Japon du 12e siècle, représente également la naissance de l’une des incarnations les plus puissantes de l’héroïsme masculin. D’abord initiée comme milice spéciale pour protéger le nord de Honshu, alors menacée par les rebelles, les samouraïs ont rapidement tiré parti de leur discipline et de leur force de frappe.
Leurs maîtres d’armes les pliant à un code d’honneur et de vertus irréprochable, les guerriers samouraïs ont imposé partout à travers le pays la loi du sabre. Bientôt, les empereurs ont fait
appel à leur science du combat ainsi qu’à l’efficacité de leur entraînement pour défendre le royaume. Ces guerriers sont instruits et en temps de paix, ils occupent des fonctions administratives pour le suzerain.
C’est au 17e siècle que le samouraï Taïra Shigésuké a rédigé un code d’honneur du samouraï comprenant 47 principes à respecter. Cependant, c’est au 20e siècle que l’on publia l’ouvrage le plus respecté à titre de code de conduite morale du samouraï: le Hagakure, écrit autour de 1712 par le guerrier Jocho Yamamoto.
Ce que l’on appelle la voie du guerrier (Bushidô) ou le traditionnel suicide (Seppuku) pour racheter l’honneur perdu sont des enseignements essentiels dans la pratique du samouraï. Ces chevaliers d’Asie recrutaient la plupart de leurs soldats dans les rangs de la noblesse. Toutefois, certains d’entre eux ne se ralliaient pas à un empereur et faisaient cavalier seul.
On leur donnait le nom de Ronin et ils faisaient figure de mercenaires parmi leurs semblables.
L’armure du samouraï se composait d’un assemblage de plaques reliées par des lanières de cuir et d’un plastron qui protégeait le corps des assauts adverses. Le guerrier arborait deux sabres : un plus petit, le Wakizashi (lequel servait bien souvent à s’enlever la vie pour échapper au déshonneur lors d’un combat) et un plus long, le Katana, cette épée mythique que les légendes japonaises considèrent comme étant l’âme du samouraï.
Depuis que le Japon s’est ouvert à l’occidentalisation, les samouraïs ont totalement perdu leurs fonctions premières. Ceux qui n’ont pas renoncé à leur art sont devenus des hommes d’affaires à la tête de cartels puissants ou se sont transformés en guerriers ninja, sans code d’honneur et sans scrupules.
La voie du guerrier, n’est hélas, plus qu’une belle histoire du passé.


Aujourd'hui, 22 Mai (décalage horaire oblige), L’Austral est en mer
Distance entre Osaka et Yokohama: 357 milles marins (soit environ 661 km)
1 mille marin = 1,852 kilomètres

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